Un sanctuaire marin pour les dauphins de Barcelone ?
Le 25 avril 2018, Barcelone s’est officiellement déclarée « ville sans delphinarium », « ciudad libre de cetáceos en cautividad » ! Mais que vont devenir les dauphins actuellement détenus ? Un sanctuaire marin est-il prévu pour eux ? Rappel des faits dans ce dossier paru en 2016.
Le Zoo de Barcelone va probablement déplacer deux dauphins, Kuni et Leia, à l’Oceanogràfic de Valence. Ce transfert a été proposé après que le plan d’expansion du delphinarium ait été suspendu. Le zoo ne répond plus dès lors aux normes minimales établies par l’Association européenne des mammifères marins (EAMM). Peu de temps après avoir remporté les élections, le nouveau maire de Barcelone, Ada Colau, a décidé de suspendre l’expansion des installations prévues par le gouvernement précédent, dauphins lesquelles auraient coûté 15 millions d’euros. «Nous avions seulement deux options : soit allouer 15 millions d’euros et moderniser les installations, soit fermer le delphinarium et cherché un endroit où placer les dauphins que nous détenons actuellement», a déclaré une source proche de la mairie. La première option, outre son coût, soulève deux problèmes.
D’une part, celui du calendrier. En cas d’extension du delphinarium, une partie du parc de la Ciutadella doit d’abord faire l’objet de fouilles archéologiques, ce qui risque de retarder singulièrement les travaux.
D’autre part, la conception même du zoo pose problème. Actuellement, un vaste courant d’idées neuves traverse le grand public, suite notamment au documentaire Blackfish. L’exhibition de certaines espèces réputées trop intelligentes pour être captives commence à déplaire à la clientèle. Le rôle même des zoos semble être aujourd’hui devoir une nouvelle fois être redéfini au profit d’une réelle sauvegarde des espèces vraiment menacées directement sur le terrain mais aussi d’une pédagogie en phase avec la science et l’ éthique moderne. « Consacrer beaucoup d’argent à ce genre d’installations risque d’hypothéquer à terme l’avenir du zoo » reconnaissent les autorités locales, plus conscientes que d’autres au changement de paradigme en cours.
Les shows de dauphins, aujourd’hui, c’est ringard et même choquant
D’ici là, un accord a été conclu avec l’Oceanografic de Valence pour qu’il accueille les deux plus jeunes dauphins du zoo, Kuni et Leia. Le transfert a été fait au mois de septembre 2016. L’accord précise que la propriété des mammifères marins demeure acquise à la ville de Barcelone.
Le sort des 4 dauphins restants, Anak, Blau, Tumay et Nuik, est toujours en balance, mais l’on envisage une solution à la manière de l’Aquarium de Baltimore : un sanctuaire marin naturel côtier, où les dauphins pourraient finir leur vie loin des piscines en béton. Après avoir analysé les différentes options, le groupe de travail devrait prendre une décision avant la fin de l’année. Lors du dernier Comité sur l’écologie urbaine et la mobilité, une session extraordinaire du groupe de travail a été tenue pour discuter de la façon dont il fallait gérer l’avenir du nouveau delphinarium.
La Fondation Faada a lancé une campagne de signatures sur Internet pour demander la fermeture complète du delphinarium. Elle a également demandé une rencontre avec les différentes parties du Conseil municipal afin de les convaincre de choisir la meilleure option, celle du sanctuaire. « La chose est parfaitement faisable » assure Miriam Martinez, vétérinaire et membre de Faada.
En cas de fermeture des bassins, les dauphins du zoo ne pourraient cependant pas être remis en mer. Ils n’y pourraient survivre sans compétences acquises. La meilleure option serait de les transférer dans un sanctuaire marin. Plusieurs organisations, composées de scientifiques et de militants, travaillent actuellement sur de tels projets, qui devraient voir le jour d’ici peu. Dans le même temps, plusieurs delphinariums ont cessé leurs activités et la création d’un refuge pour les dauphins européens en Méditerranée, prévue dans un an, risque de s’avérer de plus en plus nécessaires. Cela pourrait être la prochaine destination des quatre dauphins restants au zoo de Barcelone. Anak, Blau, Tumay et Nuik ont assez souffert comme cela !
Carrefour de la croissance en Inde
Contrairement à la Chine depuis la mi-2012, il n'y a pas encore de preuve claire d'une reprise économique en Inde, car le retard dans la mise en œuvre des réformes nécessaires, entre autres facteurs, a affaibli la compétitivité. Alors que les mesures récentes devraient stimuler la relance économique, un défi supplémentaire est que la croissance doit être rendue durable et plus inclusive.
Alors que le ralentissement des principales économies industrielles du monde se prolonge, la croissance en Asie en développement est affectée. Un lourd fardeau sera probablement placé sur les principales économies de la région, en particulier ses deux géants, l'Inde et la Chine. Les secteurs extérieurs des deux pays ont clairement été durement touchés, tandis que la consommation intérieure stagne. Les investissements en immobilisations en Inde n'ont augmenté que de 2,3% au premier semestre 2012, contre 9% un an plus tôt.
Contrairement à la Chine, qui a montré des signes clairs de stabilisation depuis la mi-2012, il n'y a pas encore d'indication claire de reprise en Inde, car le retard dans la mise en œuvre des réformes nécessaires, entre autres facteurs, a affaibli la compétitivité de l'économie. Alors que les récentes mesures gouvernementales devraient stimuler la relance économique, un défi supplémentaire est que la croissance doit être rendue durable et plus inclusive, ce qui nécessite d'aborder quatre questions clés.
Le premier concerne les mises à niveau du secteur des services. L'Inde possède déjà un vaste secteur des services, qui a été une source importante de croissance. Compte tenu de la population jeune et croissante du pays, le secteur des services doit créer plus d'emplois pour les millions de personnes qui rejoindront la population active chaque année.
Je ne pense pas que nous puissions ignorer le rôle de la corruption et de la domination de la politique politique délicate dans TOUT ce que l'Inde fait. La gouvernance est ici une plaisanterie, qui ne doit pas être analysée en termes macro-économiques technocratiques.
L'économie indienne est au point mort parce que le gouvernement sortant à long terme lui-même s'est simplement ARRÊTÉ d'approuver de nouveaux projets d'infrastructure dans les secteurs de l'électricité, des routes et des télécommunications (c'est là une ÉNORME partie de l '"économie"), il a AUGMENTÉ les taux d'intérêt au nom de l'inflation ( ce qui est systémique, cet argument peut être fait chaque année), et le gouvernement a dépensé son argent gagné à partir de taxes sur les subventions gaspilleuses qui n'atteignent jamais les agriculteurs (c'est-à-dire qu'il a pris l'argent pour lui-même par des moyens corrompus), oh et il a ARRÊTÉ de produire du charbon parce que il y a également trouvé de la corruption.
Cela a créé une crise, afin de pouvoir faire passer ses augmentations idiotes d'impôts dans le dernier budget (présidé par un poseur FM), tout en diffusant son intention de faire baisser les taux d'intérêt (trahissant le fait que la Reserve Bank of India est une politique institution) afin que tous les négociants obligataires internationaux (FII, comme on les appelle) puissent s'entasser dans la dette indienne pour récolter les fruits des baisses de taux à venir. C'est une économie qui adore vraiment les flux d'argent chauds tandis que le reste du monde en développement lutte contre eux.
Tout n'est pas ce qu'il est censé être. Les flux inconstants de «l'argent chaud» sont le Saint Graal de la finance indienne.